Cap sur les sensations !
Avec le temps, et les progrès technologiques des équipementiers, les chaussettes ont maintenant beaucoup de spécificités. Il est possible d’opter pour différents types de modèles en fonction de la discipline que l’on pratique et de ses particularités. Dans le sprint, c’est la recherche de sensations qui prime. Avec des chaussettes très fines, pas trop épaisses, c’est là qu’on trouve le meilleur ressenti. Alors c’est vrai, certains athlètes courent sans chaussette (rire). Ça, c’est à l’appréciation de chacun. Si tu te sens mieux sans chaussette, que tu trouves des supers sensations : fonce sur le sans-chaussette (sourire) !
Cap sur la contention !
De plus en plus d’athlètes aiment courir avec des chaussettes de contention. Des boosters ou des manchons, qui sont des chaussettes un peu plus hautes, qui remontent davantage sur la jambe. La particularité de ce type de chaussette est simple : elles participent et aident très largement au retour veineux, très recherché par les sprinters. L’autre avantage des chaussettes de contention, c’est l’aide à la récupération. Il est vrai qu’avec ce type de modèle, le corps et notamment les jambes récupèrent mieux et plus vite.
Cap sur la même paire ?
Est-ce que l’on court avec les mêmes chaussettes à l’échauffement que durant la compétition ? Pour ma part, je ne changeais jamais de chaussette entre mon arrivée au stade et la course. La paire que j’avais aux pieds était celle avec laquelle je courais. Donc j’ai toujours porté mes chaussettes un long moment avant le départ car il y a toujours une longue phase d’échauffement et un peu d’attente avant qu’on entre sur la piste. Des chaussettes fétiches, qui gagnent tout le temps ? Non, je n’ai jamais eu ça (rire). Mais pour les chaussettes comme pour tout autre équipement, je n’ai jamais eu d’objet fétiche. Mais ça doit être sympa de trouver la paire de chaussettes qui gagne !