1 - Pour quelle pratique ?
Le choix d’un maillot de bain dépend tout d’abord de ton niveau de pratique.
Si tu vas à la piscine une fois par mois, tu peux te considérer comme très occasionnelle. Que choisir ? Un modèle résistant et confortable. Un modèle une pièce avec de la matière dans le dos pour être parfaitement maintenue.
Si tu vas à la piscine une fois par semaine, et c’est déjà top, tu es une nageuse occasionnelle. Que choisir ? Un modèle qui offre un peu plus de liberté de mouvement, donc moins de matière (modèle en « U », en « O » ou en « X » dans le dos).
Si tu doubles tes sorties piscine chaque semaine, bienvenue dans le camp des « nageuses régulières ». Que choisir ? Un maillot avec une vraie liberté de mouvement tout en ayant maintien et confort (en fonction de ta morphologie). Pour gagner du temps à l’habillage, les modèles les plus simples à enfiler sur ceux avec un « U » dans le dos.
Si tu y vas plus de deux fois par semaine, on s’incline devant ton assiduité et ton statut de « très régulières ». Que choisir ? Un maillot de bain de qualité, qui résiste au chlore et qui laisse le plus d’espace possible dans le dos pour nager librement. Parfait pour se sentir comme un poisson dans l’eau et permettre la progression, si c’est le but recherché.
2 - Pour quelle morphologie ?
Ça tombe sous le sens mais ça va mieux en le lisant : le choix d’un maillot de bain se fait aussi en fonction de tes caractéristiques physiques.
Par exemple, si tu as beaucoup de poitrine, privilégie un modèle avec un dos totalement (ou presque) recouvert pour un maintien optimal. Il existe des maillots de bain avec des brassières intégrées, le top du top.
3 - Pour une ou deux pièces ?
Choix cornélien... Une ou deux pièces ?
Le modèle une pièce est le plus prisée en natation. Il offre principalement du confort et du maintien, les deux ingrédients les plus recherchés lorsqu’on nage de manière occasionnelle.
Mais certaines préfèrent les deux pièces pour trouver un maximum de liberté et de sensation dans leur nage. On perd sur la glisse mais on gagne en « ressenti ».