De plus en plus précieuses ?
Au même titre qu’une paire de chaussures ou un sac à dos, les montres connectées font désormais partie intégrante de la panoplie du randonneur. Des bijoux de technologie qui permettent d’avoir accès à des outils, des informations et des fonctionnalités parfois impressionnantes. Mais cet équipement high tech est-il vraiment indispensable pour faire de la randonnée ?
N’y allons pas par quatre chemins, il est techniquement possible de pratiquer la randonnée sans être équipé d’une montre connectée. Mais à quel prix ? La privation de données plonge le randonneur dans un environnement bien moins sécurisant. Avec un accès aux données météos en temps réel, le randonneur peut être averti d’un changement brutal du temps et s’organiser en conséquence en cas d’orage brutal, de pluies diluviennes ou de rafales dangereuses.
Un deuxième cerveau
Outre l’aspect sécuritaire, à ne surtout pas négliger, les montres connectées permettent également au randonneur d’avoir des repères très précis. Qu’ils soient géographiques, pour pouvoir se situer avec une marge d’erreur quasi nulle (ce qui n’est pas toujours le cas avec une boussole traditionnelle, pas évidente à utiliser convenablement). Ou bien des repères « personnels », avec un suivi de votre rythme cardiaque et des données du parcours (vitesse, distance, dénivelé) permettant au randonneur d’avoir un regard très précis sur sa pratique (et son état de forme). Si rien n’égale l’écoute de ses sensations, la montre connectée devient malgré tout un deuxième cerveau et un outil objectif, qui se trompe (jamais !) rarement.
Quand on veut progresser...
Pour les randonneurs qui souhaitent une pratique active et s’inscrire dans une logique de progression, une montre connectée permet d’analyser chacune des sorties et de décortiquer ses moindres détails. Dans la perspective d’intégrer un travail qualitatif, difficile de faire sans.