Pour quel usage ?
Avant de se ruer vers les différents modèles de casque, il est bon de connaître ton usage, ton type de pratique et ton niveau. Ces éléments vont te permettre de mieux cibler ta recherche. En effet, si tu souhaites pratiquer de façon assidue et explorer des zones en dehors des pistes, tu auras besoin d’un modèle solide, performant et aéré. Si tu souhaites simplement t’équiper de manière basique : les entrées de gamme avec confort et sécurité seront parfaites pour tes besoins.
Pour quel type de tête ?
Comme tu t’en doutes, il existe plusieurs tailles de casque. Pour connaître celle qui te convient le mieux, il suffit simplement de mesurer ton crâne à l’aide d’un mètre ruban positionné autour de ta tête en passant au-dessus de tes oreilles et en se posant juste au-dessus de tes sourcils. C’est la partie la plus grande de ton crâne, qui fera entre 50 et 65 centimètres. Un référentiel à prendre en compte au moment de choisir ton modèle.
Pour quel confort ?
Un casque dispose de plusieurs variables comme le poids, le confort et l’aération.
Pour le poids, les modèles pèsent entre 400 et 700 grammes. Les plus évolués technologiquement peuvent descendre en dessous des 400 grammes. Si c’est un critère important pour toi, d’avoir le sentiment de ne rien porter pour te sentir vraiment libre, opte pour un modèle ultra light.
Le critère d’aération est également important. Au minimum, les modèles proposent deux sorties d’air. Mais il peut y en avoir plus d’une dizaine, avec la possibilité de régler leur nombre pour rendre le modèle plus ou moins aéré. Si tes sorties sont « musclées », dynamiques et donnent chaud à la tête, il est bon d’être bien équipé pour éviter la surchauffe.
Avec ou sans visière ?
Dernier choix à faire : avec ou sans visière. Si tu es déjà équipé d’un masque de ski, ce n’est pas vraiment utile de prendre une visière. En revanche, si tu n’es pas équipé, les modèles avec visière sont une solution pour éviter d’acheter un masque par la suite. La visière présente, en plus, l’avantage de pouvoir porter des lunettes de vue tout en skiant, ce qui n’est pas toujours le cas avec un masque.