Ski de randonnée classique
Exit le hors-piste et les sensations un peu trop fortes, ce que tu cherches avant tout, c’est te faire plaisir en randonnant à ski. Point. Pour cela, il te faut des skis d’une longueur de 10 à 20 cm plus petit que toi. Des skis assez fins et plutôt légers (en carbone) pour pouvoir optimiser les phases de montée.
L’idée de la randonnée classique, c’est d’être performant en phase de montée en étant léger, donc de trouver une paire de skis avec un bon rendement, peu de poids et une belle efficacité.
Ski de randonnée polyvalent
Les profils un peu plus aventuriers s’autoriseront un peu de hors-piste, de temps à autre. Dans ce cas, il faut des skis « passe-partout », capables d’assurer en montée et d’affronter de beaux dénivelés, tout en répondant présents sur les phases de descente, parfois techniques.
Le ski doit donc être 5 à 10 centimètres plus petit que la taille du skieur. Plus proche de sa taille s’il est léger ou s’il dispose d’un petit niveau. Le besoin de stabilité se trouve dans la longueur du ski, un peu plus grande que sur de la rando classique.
Ski de free-rando
Les choses très sérieuses commencent... Dans le free-rando, on doit pouvoir passer un peu partout. Il faut donc des skis assez longs, le plus souvent de la taille du skieur ou quelques centimètres en plus; notamment pour les grands gabarits. Le ski est beaucoup plus large: le patin peut aller jusqu’à 100/120 mm contre 70/75 mm sur les modèles classiques ou polyvalents.
Si la phase de montée ne peut être négligée, ici, les randonneurs mettent clairement le curseur sur les descentes. Si c’est le cas, il ne faut pas hésiter à prendre un patin de 120 mm et miser sur la largeur du ski, gage de stabilité.